The Greatest Underdog...

Donald Trump 45e et 47e ? Président des États-Unis

            Non il ne s'agit pas d'une erreur de synthaxe ou d'une intoxication verbale volontaire. Il fut bel et bien le 45e Président des États-Unis. Petite anecdote en passant, si on additionne le 4 et le 5 de 45, nous obtenons le chiffre 9 qui, pour Nikola Tesla, représentait la clef de l'univers. Tirant partit de sa longue expérience dans le domaine de la finance, son élection fut grandement attribué à la place qu'il occupat dans les différents médias "mainstream". Bien malgré eux et à leur grand désarrois, ces derniers lui ont fait toute la publicité nécessaire à sa nomination. Et ce, de plus, tout à fait gratuitement. Certains rétorqueront que la majorité de cette publicité n'était pas en sa faveur mais comme il le dit, << il est préférable d'avoir de la bonne publicité, mais mieux vaut la mauvaise que rien du tout. Etre contreversé est parfois efficace, commercialement parlant >>. Qui doute encore de son intelligence ?

What you see is what you get!!!

            First, no one will change the Trump personnality or his character traits because both are a part of his nature and it's the same nature that allowed him to be who he is today. And we all know he is not perfect. And yes, he made and still makes mistakes. Isn't it written in the bible that Let whoever is without sin cast the first stone" (Jean 8:7) And the judgment that we must bring to him must be made by virtue and according to the position he embodies and nothing else. That is, what he has already done for the United States of America and what he can still do for all Americans.

Trump embodies his own party

            Trump is neither a Democrat nor a Republican. He draws what he needs from both dogmas. It is no longer a presidential candidate who courts the voters of elected members of Congress but the members of Congress, and de facto their voters who court trying to harmonize with the demands of the electoral base devolved to Trump. Career politicians will, for the most part, climb the ladder by exchange of good practices while Trump owes nothing to anyone and can fulfill his mandate(s) without needing to deviate from one or more electoral promises to deceive a longtime friend.

Trump et les femmes

            Il ne faut pas chercher lontemps sur internet pour trouver des ignominies de Trump à l'àgard des femmes car même avant de devenir président, M.Trump avait une feuille de route plutôt bien garnie à ce sujet. Nous n'avons qu'à penser à ce titre à ses commentaires dans une casette Access Hollywood de 2005 qui invoque le fait d'attrapper des femmes << par la chatte >>. Commentaire ayant fait la une des journaux plus d'une fois. Mais ce << misogyne >>, dont certains aiment le qualifier aurait-il écrit dans son autobiographie que << [...] ma mère a été une femme au foyer toute sa vie, or j'ai souvent engagé des femmes pour des fonctions importantes. Elles ont d'ailleurs toujours été plus qu'à la hauteur. Généralement, en fait, elles sont beaucoup plus efficace que les hommes qui les entourent. (Trump par Trump 1988: 163)>>

Trump et sa personne

            Au début, j'étais comme vous et j'avais des présupposés sur sa personne conséquence de ce que nous relates les médias et qui sont pour la plupart véridicte. Et soyez certain que je n'aime pas comme vous certaines de ses paroles. Mais qui peut lui reprocher d'avoir un gros égo et d'être à la limite égocentrique. À ce que je sache, aucune loi sanctionne l'égo, le narcissisme (je préfère le terme édoniste) et l'égocentrisme. Ce que les américains veulent c'est un Président qui va se battre pour leur bien-être, leur sécurité et intérêts en tant que nation. Si c'est traits de caractère ne l'empêche pas de faire tout cela, alors il n'y a pas lieu de le discréditer pour ce poste. Mais laissez moi vous raconter quelque chose. À la suite d'un reportage de Tom Brokaw, Trump se fut mis aux faits de la situation de Mme. Annabelle Hill qui venait de perdre son époux d'un suicide, accablé par ses dettes concernant leur ferme et la pression de la banque pour régler leur hypothète. C'était des gens qui avaient travaillés durs toute leur vie, une caractèristique qui rejoint Trump dans le cours de ses affaires. Touché par cette affaire, ce dernier communiquera avec la banque et entamera toutes les procédures pour réunir la somme nécessaire afin de régler la dette de madame Hill s'engageant personnellement à mettre la balance de sa poche s'il ne parvenait pas à réunir les fonds nécessaires. Chose promise chose faite, le 24 décembre 1986, ils brûlèrent l'hypothèque de madame Hill dans l'atrium de la Trump tower. Voilà une action phylantropique digne de mention et assurément un bon coup de pub et pourquoi pas. Pouvons-nous vraiment lui en tenir rigueur après une telle action ? Et même si vous en doutez, ce ne fut pas sa seule action du genre...

Quest-ce qui fait la différence entre un bon et un mauvais Président?

            Selon moi, c'est ca capacité à respecter ses promesses électorales et puisque aucun mandat n'est réaliser sans un ou plusieurs imprévus, sa capacité réagir rapidement au mieux de ses capacités et en allant chercher de l'aide, si besoin. Peu importe ce que diront ses détracteurs, Trump à tout fait ce qu'il avait dit qu'il ferait et n'oubliez pas qu'il a été le premier a fermer les frontières avec l'Europe lorsque les européens criaient aux scandales pour finalement, faire de-même quelques jours plus tard. Trump a aussi formé un conseil consultatif invitant même ceux, comme Elon Musk, qui s'était publiquement prononcé contre sa gouverne de la nation. Ce conseil en était parvenu à la conslusion que la règlementation dans ce secteur était trop lourde et Trump l'a immédiatement allégé de 75% ce qui a propulsé les marchés boursiers à des sommets sans précédent. Cette politique a aussi eu comme conséquence des taux de chomage au plus bas en près de 50 ans.

Quels sont les principaux aspects physiques qu'un chef d'État doit obligatoirement avoir?

            Le réponse est aucun. Franklin Delano Roosevelt à passés la majorité de ses mandats en tant que Président des États-Unis en chaise roulante le saviez-vous? Les femmes s'évanouissaient à l'approche d'Adolph Hitler et on ne parle pas d'un Justin Bieber ou d'un George Clooney. Fut-il un bon Chancelier pour autant ? Staline avait de très grosses cicatrices de la varioles et c'est lors de son militaire que le cours de la deuxième guerre mondiale à changer. Ne lui enlevons pas se fait d'arme même si tout le reste ne mérite même pas d'être citer ici. Bref, je pourrais continuer encore longtemps. Trump n'a pas été élu pour son sourire, son charisme et sa manière de parler des femmes mais pour sa capacité à obtenir le meilleur pour les américains. Les exemples à ce sujet sont légions. Que je pense à la renégociation des clauses de l'Aléna, à la guerre économique qu'il a fait à la Chine pour résoudre le problème de l'inéquité de la balance commerciale, pour avoir eu l'audace de rencontrer Kim Jong Il afin de lui démontrer clairement que l'Occident était prêt à participer pour sortir son pays de l'âge de pierre, ou encore, le mur qu'il a effectivement commencé à construire à la frontière avec le Mexique afin de limiter l'immigration illégal qui amène avec elle la criminalité. Il a créé 6.6 millions d'emplois, avec les tarifs douaniers majorés sur les produits venant de Chine, il a récupérer 250 milliards et il s'est retiré du traité avec l'Iran sur le nucléaire. Bref, cette énumération n'est pas exhaustive.

Son caractère et sa manière de combattre ses adversaires.

            Trump à dit un jour dans sa biographie, et je le cite << Beaucoup plus souvent qu'on ne le croit, c'est la persévérance sans faille qui fait la différence entre le succès et l'échec. [...] Je suis le premier à le reconnaitre que je suis combattif et prêt à n'importe quoi, dans les limites de la loi pour gagner. Il est parfois nécessaire, afin de conclure une affaire, de dénigrer ses rivaux. [...] contrairement à ce que bien des personnes pensent, je ne cherche pas systématiquement à être agressif. Je le suis seulement lorsque c'est nécessaire. (Trump par Trump 1988: 165) >> Et il avouera même plus loin, toujours dans sa biographie, être un lion prêt à se battre pour défendre ses intérêts. Moi, c'est ma définition type du gagnant que cela plaise ou pas aux autres. Et je crois fermement que s'il a la possibilité de ne pas dénigrer son opposant, il va le faire. Mais ce qu'il veut par-dessus tout, c'est le gagner dans les limites de la loi et tout ce que j'ai observé de lui jusqu'à présent le démontre. Bien qu'il voue un certain respect pour ceux qui débarquent << [...] dans une entreprise sans aucune attache, aucun sentiment pour les gens qui y travaillent ou les biens dont elle disposait. Il n'avait donc pas de scrupules à se montrer sans pitié. >> Il sait reconnaitre le bon travail en le rénumérant gracement. Je sais vous vous demandez sans doute, et l'assault du Capitol lui ? Je vais y revenir bientôt.

Activité et contreverse de Donald Trump en 2024

Annonce de sa candidature pour 2024

            C'est devant une foule de partisans survolté, scandant son nom à Robstown, au Texas, que Trump à "officieusement" annoncé qu'il serait de la course à la présidence de 2024. Il a déclaré qu'il avait "[...] Obtenu des millions de voix de plus en 2020 qu'en 2016 et de loin. J'ai obtenu plus de voix que n'importe quel président en exercice dans l'histoire de notre pays. Et maintenant, pour rendre notre pays prospère, sûr et glorieux à nouveau, je devrai probablement le faire encore.(traduction libre)".

Retrait du Traité de Paris

            Donald Trump a annoncé son intention de retirer les États-Unis du Traité de Paris sur le climat pour la seconde fois s'il est réélu. Il justifie cette décision en affirmant que l'accord nuit aux intérêts économiques américain.

Affaire judiciaire et condamnations

            En mai 2024, Donald Trump a été condamné pour 34 chefs d'accusation de falsification de documents commerciaux liés à des paiements occultes effectués pour éviter des scandales pendant sa campagne présidentielle de 2016. Ces paiements comprenaient ceux faits à Stormy Daniels, une star du porno, pour acheter son silence sur une prétendue liaison. Les accusations portaient principalement sur la dissimulation de la véritable nature de ces paiements, qui ont été enregistrés comme des dépenses légales. Trump fait face à trois autres affaires criminelles en cours : 1- Washington, D.C. : Il est poursuivi pour ingérence électorale liée à ses tentatives de renverser les résultats de l'élection présidentielle de 2020. Les accusations incluent l'incitation à l'insurrection lors des émeutes du Capitole le 6 janvier 2021. 2- Floride : Une affaire concernant la possession et le traitement inapproprié de documents classifiés retrouvés à Mar-a-Lago, son domaine en Floride. Cette affaire porte sur la sécurité nationale et le respect des protocoles de gestion des informations sensibles. 3- Géorgie : Trump est accusé de pression sur des responsables électoraux pour modifier les résultats de l'élection de 2020, notamment en demandant au secrétaire d'État de "trouver" suffisamment de votes pour inverser la victoire de Joe Biden.

            Quand aux réactions politiques et aux implications financières des démêlés de justice, en février 2024, la cour de New York a ordonné à Trump de payer plus de 350 millions de dollars en pénalités et en intérêts, pour un total dépassant 450 millions de dollars. Il a également été interdit de servir en tant qu'officier ou directeur de toute entité légale à New York pendant trois ans. La société Trump a été placée sous la supervision d'un moniteur nommé par la cour, et un directeur indépendant de la conformité a été nommé pour superviser les restructurations potentielles et la dissolution de l'entreprise. rump a fait appel de toutes les décisions judiciaires et a publiquement dénoncé les poursuites comme étant politiquement motivées. Ses avocats ont argumenté que les charges étaient exagérées et que les poursuites avaient pour but de nuire à sa campagne présidentielle. Malgré ses problèmes judiciaires, Trump a maintenu un soutien important parmi ses partisans. Ses rassemblements de campagne ont continué d'attirer des foules importantes, et il a utilisé ces événements pour critiquer le système judiciaire et ses adversaires politiques, renforçant ainsi son image de victime d'une chasse aux sorcières orchestrée par les élites. En résumé, les affaires judiciaires de Donald Trump en 2024 illustrent les défis complexes et multidimensionnels auxquels il fait face dans sa tentative de revenir à la présidence. Ses condamnations et poursuites en cours continuent de polariser l'opinion publique et de jouer un rôle central dans la dynamique politique américaine. Et finalement, il ne faut pas oublier que la Cour suprême du Colorado a statué que Trump était inéligible pour figurer sur les bulletins de vote de l'État en raison de son rôle dans les émeutes du Capitole, citant la violation du 14e amendement. Cette décision sera probablement portée devant la Cour suprême des États-Unis.

Déclaration sur les émeutes du 6 janvier

            Trump a décrit les personnes emprisonnées pour leur rôle dans les émeutes du Capitole comme des "otages" et a affirmé qu'une réélection de Biden perpétuerait leur emprisonnement.

Le premier débat présidentiel du 27 juin 2024

            Le débat présidentiel de 2024 entre Donald Trump et Joe Biden a été un événement marquant, caractérisé par des échanges vifs et des moments de confrontation directe, mais aussi par des visions distinctes pour l'avenir des États-Unis. Voici un résumé détaillé et optimiste de cet événement clé : Le débat a eu lieu le 27 juin 2024, à l'auditorium de l'Université de Virginie, devant un public enthousiaste et un panel de journalistes chevronnés. Modéré par Dana Bash de CNN, le débat a permis aux candidats de présenter leurs plateformes et de répondre aux questions pressantes des électeurs américains. Économie et Création d'Emplois : Trump a mis en avant ses réussites économiques passées, promettant une renaissance industrielle et la création de millions d'emplois. Il a souligné des politiques fiscales favorables aux entreprises et une déréglementation pour stimuler l'innovation et la croissance. Politique Étrangère : Trump a défendu une politique étrangère axée sur le nationalisme économique, promettant de rétablir des accords commerciaux plus équitables et de renforcer la position des États-Unis sur la scène mondiale. Il a insisté sur le retrait des accords internationaux jugés désavantageux, comme le Traité de Paris, pour prioriser les intérêts américains. Justice et Réformes Systémiques : Répondant aux préoccupations sur la justice, Trump a proposé des réformes pour assurer une application plus équitable des lois et s'est engagé à poursuivre la lutte contre la corruption politique et les abus de pouvoir au sein des institutions fédérales. Quand à Joe Biden, il a parlé de la santé et de la sécurité sociale en défendant es progrès réalisés en matière de soins de santé, promettant d'élargir l'accès et de renforcer la sécurité sociale pour tous les Américains. Il a mis en avant des initiatives pour réduire les coûts des médicaments et améliorer les infrastructures de santé. Environnement et Climat : Biden a réaffirmé son engagement envers le développement durable, proposant des mesures pour lutter contre le changement climatique tout en créant des emplois verts. Il a critiqué les plans de Trump de se retirer du Traité de Paris, soulignant l'importance de la coopération internationale pour résoudre les problèmes environnementaux globaux. Éducation et Innovation : Biden a mis en avant des politiques visant à rendre l'éducation plus accessible et à encourager l'innovation technologique. Il a proposé des programmes pour réduire la dette étudiante et investir dans la recherche scientifique et technologique.

            L'un des moments forts du débat a été l'échange sur la sécurité nationale, où Trump a critiqué les politiques de Biden en matière de défense, les qualifiant de faibles et inefficaces. Biden a riposté en soulignant la nécessité d'alliances fortes et d'une diplomatie stratégique pour maintenir la sécurité mondiale. Trump a réitéré sa position ferme sur l'immigration, promettant de renforcer les frontières et de mettre fin aux politiques qu'il juge laxistes. Biden a défendu une approche plus humaine et inclusive, mettant l'accent sur les réformes pour gérer l'immigration de manière ordonnée et équitable. En conclusion, les deux candidats ont présenté leurs visions pour l'avenir du pays. Trump a promis un retour à la prospérité économique et un renforcement de la souveraineté nationale. Biden a mis l'accent sur l'unité, la justice sociale et la protection de l'environnement, appelant à une coopération nationale pour relever les défis à venir.

            Le débat a été un moment crucial de la campagne présidentielle de 2024, offrant aux électeurs une claire distinction entre les deux visions proposées pour l'avenir des États-Unis. Les échanges ont été intenses, mais ont permis de clarifier les positions de chaque candidat sur des sujets essentiels. Ce débat a non seulement mis en lumière les divergences politiques, mais a aussi démontré la vitalité et la résilience de la démocratie américaine en action.

            Lors du débat présidentiel du 27 juin 2024, Joe Biden a peiné à maintenir une posture forte et confiante face à un Donald Trump agressif et dominant. Dès le début, Biden a semblé hésitant et souvent dépassé par la rapidité et la virulence des attaques de Trump. Incapable de répondre de manière claire et concise, il a fréquemment cherché ses mots, ce qui a donné une impression de confusion et de manque de préparation. Sur des questions cruciales comme l'économie, Biden n'a pas su défendre efficacement son bilan face aux critiques de Trump, qui l'a accusé d'avoir affaibli l'économie américaine avec des politiques inefficaces et coûteuses. De même, sur les questions environnementales, bien que Biden ait essayé de mettre en avant ses efforts pour lutter contre le changement climatique, il a été incapable de contrer les arguments de Trump concernant les impacts négatifs de ces politiques sur les emplois et l'industrie américaine. Cette incapacité à articuler une vision claire et convaincante pour l'avenir a renforcé les doutes sur sa compétence et son aptitude à diriger le pays pour un second mandat. Ses performances vacillantes ont offert à Trump des occasions répétées de souligner les faiblesses perçues de son administration, accentuant une perception d'une gestion inefficace et désorganisée des affaires nationales.

Écrit dans la langue de Molière et de Shakespear par

Xander B. ©

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